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Note moyenne : 16

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Ivar - 16/20
"Anthems to the welkin at dusk" est le dernièr album d'Emperor dans sa période typiquement black.
Reprenant le chemin la ou ils l'avaint arrêté avec le cultissime "in the night side eclipse" Emperor nous propose ici un album encore plus aboutit intense et complexe que le précédant. Anthems pousse en effet dans ces derniers confins le style du black metal. Et c\'est pour moi le défaut de cet album.
On a par fois trois parties de guitare jouant en même temps (quant ce n'est pas le synthé qui vient rajouter son grain de sel) et il est donc facile de se perdre dans ce magma de mélodie que constituent la majorité des morceau de l'album.
Il faut donc pour apprécier pleinement cet album se plonger corps et âme dans la musique, s'en imprégner totalement. Ce qui n'est faisable qu'après avoir écouté l'album au moins deux ou trois fois...si l'on ne s'est pas découragé avant !

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Note moyenne : 19

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Abdul el Razad - 19/20
Emperor. groupe mythique de black. Emperor, groupe à la réputation sulfureuse (comme beaucoup de groupes de l'Inner circle...) à la musique puissante, et à la voix mélodieuse (qualité, ô combien rare dans le black...) Cette décharge, ce condensé de riffs accrocheurs, aux paroles froides et malsaines est relativement court, mais est agrémenté de quelques bonus sympas...
La Tracklist est la suivante:
Curse you all men
Decrystallizing reason
An elegy of Icaros
The source of icon
Sworn
Nonus Aequilibrium
The warriors of Modern Death of blindless and subsequent seers
Curse you all men (live)
Sworn (remix)
le line-up est le suivant:
Ihsahn: Vocals - Lead guitar - Synth - Bass (l'homme a tout faire, il compose et il écrit le paroles. Mon idole.)
Samoth: Rythm Guitar
Trym: Drums and Percussion
Que dire? Tout d'abord, la production est léchée et soignée. A l\'écoute de cette galette, on se prends une grosse baffe.
mais surtout, surtout, sur ce disque, marquant un changement de style conséquent avec les précedents Emperor, on remarquera la qualité de deux morceaux en particulier, Sworn et Curse you all men.
Le second donne d'ailleurs tellement bien que la version live figurant dans le CD a autant de puissance que la version Studio...
Et sworn, je suis tombé amoureux du remix. Ah, les guitares triturées, les synthés et la batterie... Enfin, Emperor a pris un nouveau tournant, et il ne font que du bon. En résumé, un superbe album au design soigné (en plus!).

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Note moyenne : ???

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Pierre
Prometheus ou le chant du cygne d’une légende. Avec ce nouvel album, Emperor obtient ad vitam aeternam sa place au Panthéon du Black Metal. Ce bouquet final uniquement composé par Ihsahn clôture magistralement quelques dix ans de carrières durant lesquels le groupe n’a commis aucun faux pas musical. Cette dernière œuvre ne fait pas exception et fait d’emblée partie des classiques du black. Neuf hymnes sombres, produits par le groupe lui-même, qui dès les premières écoutes marquent par leur puissance et leur densité. Ces nouveaux morceaux sont un condensé des albums précédents : le côté black de « In the Nightside », la fibre symphonique de « Anthems », et l’aspect death de « IX », le tout repensé pour fusionner et donner un album unique, flirtant avec Arcturus lors de passages symphoniques sublimés par des voix claires, mais aussi avec Zyklon au plus fort des accélérations. L’Empereur est mort ! Vive l’Empereur !