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Note moyenne : 14/20

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Graz'zt - 14/20
Ce 45 tours,  aussi parfois appelée "Unholy Forces Of Evil", fait ressentir l'influence énorme qu'a pu avoir Euronymous sur l'ensemble de la scène Norvégienne. Par rapport à la 1ere démo du groupe qui était du pur Death Metal, cela n'a rien à voir, on est là déjà dans du Black Metal sans compromis. Un son très brut, évidemment, dû au format, mais une pièce historique intéressante. Cette démo sera rééditée avec "Battles In The North" en 1996, et figure aussi dans l'album "True Kings of Norway", sorti chez Spikefarm Records, et qui regroupe les toutes premières démos de plusieurs autres groupes de Black Norvégiens :  Emperor "As The Shadows Rise" ( 1994), Dimmu Borgir "Inn I Evighetens Mørke" (1994), Ancient "Det Glemte Riket" (1994) et  Arcturus "My Angel" (1991).

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Note moyenne : 15/20

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Graz'zt - 15/20
Le premier véritable album d'Immortal, assez différent de ce qu'ils réaliseront par la suite. En effet, on a droit ici à des passages assez mélodiques, parfois lents, avec des guitares acoustiques. Attention, cela reste tout de même du Black Metal ! Les 3 titres de leur démo sont repris dans des versions un peu plus travaillées. Une orientation assez sataniste dans les paroles qui sera également abandonnée par la suite.

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Note moyenne : 18/20

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Graz'zt - 18/20
Là, on change de style ! Oubliées les guitares acoustiques, place à la violence pure, et à de l'Holocaust  Metal, tel que  les membres du groupe définissaient leur musique  à l'époque. On sent vraiment les prémices de "Battles In The North" ici, mais il reste tout de même des passages mélodiques hérités de l'album précédent. Un album de transition, pourrait-on dire. A noter que le batteur Erik figure sur la pochette, mais qu'en fait ils ne joue pas sur l'album, étant arrivé dans le groupe au moment du mixage des titres.

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Note moyenne : 16/20

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Graz'zt - 16/20
La mélodie ? Quelle mélodie ? Ici, la seule chose qui compte est la rapidité d'exécution, la technique pure, le chaos sonore. On est loin de "Diabolical Fullmoon...", et même de "Pure Holocaust". Les guitares foncent à 300 à l'heure, la batterie aussi, et la voix d'Abbath est toujours aussi dérangeante et gutturale. La naissance d'un nouveau style dans lequel d'autres groupes s'empresseront de s'engouffrer, et le début de la reconnaissance pour Immortal.

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Note moyenne :???

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Pierre
Le début d'une métamorphose. Immortal avait repoussé avec " Battles in the North " les limites de la brutalité. " Blizzard Beasts " ouvre une nouvelle voie au groupe et surtout au genre. Immortal retourne à ses premières amours et fusionne son brutal black si impressionnant avec des riffs death comme seuls sait les faire Morbid Angel. Le résultat ? 29 minutes de cataclysme, dont on ressort K. O. La seule accalmie vient du titre " Mountains of Might ", qui ralentit sensiblement la vitesse au profit de riffs plus atmosphériques, sorte de prélude aux futures compositions du groupe. " Blizzard Beasts " est aussi le dernier album avec Demonaz, co-fondateur du groupe et le premier de Horgh. Une album qui marque une passation de témoin mais qui reste pour beaucoup l'équivalent du " Reign in Blood " de Slayer pour le milieu black et surtout la première tentative réussie de black à la sauce death, tant décliné par la suite. None above and none at side …

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Note moyenne : 18/20

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Graz'zt - 18/20
Quel changement ! Après le déluge de décibels d'albums comme "Battles In The North", Immortal prend une direction radicalement différente, et il faut bien reconnaître qu'ils ont fait un choix très judicieux. De toutes façons, il n'était pas possible d'aller plus loin dans la rapidité. On a donc droit ici à des chansons très longues (entre 7 et 8 minutes chacune), très travaillées, avec des passages au synthé, et une orientation nettement plus heavy. Un véritable chef d'oeuvre à posséder absolument. A noter que l'album est sorti en une première édition limitée à 10 000 exemplaires, avec un superbe coffret collector.

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Note moyenne : 17/20

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Graz'zt - 17/20
Immortal a encore réussi à changer dans la continuité ! Un peu plus de rapidité que pour "At The Heart Of Winter", cet album est la combinaison idéale ! Immotal devrait retrouver les fans qui avaient été déçus par l'album précédent, et garder sans problème ceux qu'il a acquis grâce à cet album, justement. Des riffs heavy et rapides, une batterie sans faute, une basse un peu plus mise en avant, et surtout la voix saccadée et gutturale de Abbath conduisent cet album à la limite du chef-d'oeuvre. A noter que, comme le précédent, cet album est sorti dans un superbe coffret collector, limité aux 10 000 premiers exemplaires. 

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Note moyenne : ???

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Pierre
Depuis quatre ans, je l'attendais cet album, oui quatre ans car même si " At the Heart … " et " Damned in black " sont d'excellents albums, ce n'est plus vraiment l'Immortal brutal et sans concessions qu'on a vénéré. Un septième album encore plus heavy aurait tué définitivement mes espoirs. Et au contraire, enfin, on nous rend notre Immortal, celui qui vous pilonne la tête, vous ravage de fond en comble, l'arme absolue, … " Sons of Northen Darkness " est l'album qui aurait dû suivre " Blizzard Beasts " tant les similitudes sont visibles. La production est désormais à la hauteur (Merci monsieur Tägtgren) et les compositions se sont faites plus subtiles dans la brutalité mais tout est là. Des morceaux aux rythmes syncopés comme " One by One " avec un Horgh dantesque, plus précis que jamais, qui blaste comme lors de sa première apparition sur un disque d'Immortal (" Blizzard Beasts "), des titres plus lourds mais très puissants de la trempe d'un Mountains of Might ou d'un Damned in Black, et enfin des morceaux originaux et innovants, avec une rythmique légèrement décalée, des ambiances valhalliennes monstrueuses, … Abbath et sa bande ont une nouvelle fois écrasé la concurrence sans pitié ni possibilité de grâce, Demonaz, l'homme de l'ombre ayant signé une fois de plus des textes somptueux à l'image de la musique proposée. Un album d'ores et déjà culte qui va réconcilier Immortal avec ses fans de la première heure. D'ores et déjà mon album de l'année. " None above and none at side … "

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Note moyenne : 14/20

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Blood - 14/20
Voici le dernier-né des bootlegs d'Immortal, limité comme il se doit à 1000 copies numérotées. Ce pirate rassemble 14 titres live, pour la plupart tirés de la dernière période du groupe. Les chansons sont toutes très bonnes et assez bien interprétées dans l'ensemble, même si on note quelques GROSSES plantades, comme les passages au clavier qui sont parfois amenés maladroitement.En dehors de ça, Abbath chante bien, Iscariah assure et Horgh est très bon. Le son est loin d'être mauvais même si le mec qui l'a enrgistré passait son temps à se balader dans la salle (d'où de fréquents changements de volume...) Un disque sympathique avec son artwork assez travaillé, mais qui reste un bootleg, donc réservé aux fans purs et durs.